domingo, 29 de noviembre de 2015

FILOSOFÍA - BACHIBAC: CAHIER 2b



 
L’épistémologie, dont il est question dans ce volume, est l’étude de la science, ou plutôt des sciences. L’usage de ce mot et la conception qu’il exprime sont relativement récents, puisqu’on ne les rencontre, dans la littérature scientifique et philosophique de langue française, qu’au début du XXesiècle, pour remplacer l’expression antérieure de philosophie des sciences, qu’avaient employée Auguste Comte et Augustin Cournot, et qui ne cesse pas d’être employée, en un sens  souvent plus  large que celui désigné par l’épistémologie. À ce titre, cette dernière se distingue  surtout de la  théorie de la connaissance, telle qu’elle était entendue par les philosophes du XVIIe et du XVIIIesiècle, qui s’étaient préoccupés déjà d’élargir, au contact de la science moderne, les anciennes doctrines sur la connaissance humaine. Apparemment plus fidèles à cette antique tradition, mais au mépris de l’étymologie, selon laquelle l’épistémologie est un discours sur la science, les auteurs anglo-saxons désignent volontiers aujourd’hui par epistemology la théorie philosophique et moderne de la connaissance, qu’ils distinguent alors, et avec raison, de la philosophie des sciences  proprement dite.

lunes, 26 de octubre de 2015

FILOSOFÍA - BACHIBAC: CAHIER 2a





« La science nous enseigne que tout ce qui existe pierre, étoile, grenouille ou être humain  est  fait  de  la  même  matière,  des  mêmes  particules  élémentaires.  Seul  diffère  létat dorganisation de ces particules les unes par rapport aux autres. Seul diffère le nombre déchelons gravis  dans  la  pyramide  de  la  complexité.  »

Hubert Reeves, Lheure de senivrer.


(a) Théorie de la connaissance


Le mobile le plus immédiat qui nourrit l’enquête épistémologique résulte de la prise de conscience accrue de nos ignorances. Tout se passe comme si l’étendue de notre savoir jetait une ombre grandissante sur les objets auxquels s’appliquent nos facultés de connaître. Plus nous savons et plus nous découvrons combien nous ignorons. Personne ne croit plus, comme lord Kelvin au XIXe siècle, à l’achèvement prochain des sciences physiques, et l’on tend même à se résigner à ce que nous demeurent voilées les 10-43 premières secondes de l’univers. S’efforcer de comprendre pourquoi nous nous trompons, pourquoi nous errons, pourquoi nos connaissances semblent ainsi affectées d’une indélébile « tache aveugle » : telle est l’ambition initiale des théories de la connaissance, contemporaines des grandes découvertes scientifiques.

domingo, 4 de octubre de 2015

Et si on s’parlait de l’égalité Filles-Garçons ?

http://lespetitscitoyens.com/a_lire/si-sparlait-de-legalite-filles-garcons/


En France, 
comme de nombreux autres pays dans le monde les femmes doivent se battre pour obtenir les mêmes droits que les hommes 
et parvenir à l’égalité des sexes.
Mais d’ailleurs, qu’est-ce que c’est au juste 
l’égalité entre les filles et les garçons ? Comment a-t-elle évolué ? Et ailleurs, comment ça se passe ?



domingo, 13 de septiembre de 2015

FILOSOFÍA 1º - BACHIBAC: CAHIER 1




"La philosophie est une pratique discursive et raisonnable (plutôt que « rationnelle », ce qu’un délire, à sa façon, est aussi). Elle entre dans le même ensemble, de ce point de vue, que les mathématiques, la biologie, le journalisme (lorsqu’il est raisonnable) ou une enquête de police (lorsqu’elle est discursive). Reste à trouver la ou les différences spécifiques qui viendront caractériser la philosophie dans le champ plus général de la raison discursive. Comment spécifier la philosophie ?"